Laissez-moi vous raconter l’histoire de Maximus le guerrier. Cette histoire est directement inspiré du terrible combats que mène Max (11 ans) et sa famille face à la maladie.
C'est toi qui ma inspiré ce conte Max, toi qui te bats comme un guerrier d'élite !
Cette histoire commence il y a fort longtemps dans les terres centrales d’Heldion.
Maximus était un fort et beau guerrier qui faisait partie de la garde de nuit de Filandre.
Un soir, alors qu’il faisait une ronde de reconnaissance, le fier guerrier fut surpris par une terrible créature : un Ostéocar.
Cette créature immonde mesurait prêt de deux fois sa taille, noire comme la nuit, visqueuse comme si elle était recouverte de térébenthine, mais surtout puissante comme un ours.
Elle frappa lâchement le guerrier en bondissant d'un bosquet alors qu’il passait a sa hauteur, entaillant son épaule de ses griffes tranchantes.
Ce dernier recula néanmoins rapidement d’un réflexe prodigieux.
Sa blessure lui fit atrocement mal, mais il ne pouvait baisser les armes, car il était le seul rempart entre la bête et son village paisiblement endormi.
La bête attaqua à nouveau, mais cette fois elle ne bénéficiait plus de l’effet de surprise et Maximus, maniant habillement son sabre, lui entailla la chair.
L’osteocar recula alors en lâchant un cri à faire froid dans le dos. Il en fallait néanmoins plus pour entamer la détermination du guerrier qui resta campé sur ses appuis, prêt à faire face à un nouvel assaut. En effet, Maximus, aussi appelé Max par ses proches était lucide. Il savait, a l'attitude de la bête, qu'elle ne s’avouerait pas vaincue aussi facilement.
Cette dernière ne se fit pas attendre, elle attaqua encore, cherchant à prendre le guerrier en défaut, mais ce dernier était résolu à ne pas céder un pas et résista de toutes ses forces.
Au terme de quelques assauts, il se sentit pourtant vaciller, son épaule blessée lui faisait énormément souffrir et sa vue commençait à devenir trouble. Il réalisa soudain que les griffes de l’horrible monstre étaient empoisonnées. La bête ne cherchait plus à prendre le dessus, mais à gagner du temps.
Max lutta vaillamment pour ne pas céder à la douleur et aux effets dévastateurs du poison. Il sentait ses forces l’abandonner, mais luttait encore de toutes ses forces, déterminer à ne pas abandonner.
Bientôt, il crut distinguer l’ombre de la mort danser autour de lui. À moins que ce ne soit les âmes de l’au-delà qu’il rejoignait lentement ?
Le vacarme de la bataille attira l’attention des villageois au sommeil précaire. À la vue du combat que menait leur ami, ils sonnèrent l’alarme. Bientôt, une pluie de projectiles divers et variés harcelèrent le monstre qui battit en retraite tandis que d'autres hommes en armes arrivaient en renfort.
Maximus, a bout de force, posa le genou à terre, mais quelque chose, au fond de lui, lui interdisait de s’effondrer.
Ses proches prirent soin du guerrier qui devint le héros de Filandre. Pourtant l’histoire ne dit pas si le guerrier reprit du service. En réalité, ce sont vos réactions dans les commentaires ci-dessous qui décideront de l’avenir du guerrier.
Cette courte histoire est dédicacée à tous les guerriers qui se battent à leur façon face à leurs monstres et plus particulièrement à un jeune guerrier nommé Max qui m’a profondément ému.
Voici le lien vers la page Facebook de soutien à ce jeune garçon à qui je dis :
« Respect, tu es fort comme un grand guerrier ! »
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